Les guerres de Lucas

« Les Guerres de Lucas » est une véritable pépite pour les fans de Star Wars, et j’ai été totalement conquise par cette BD. Ayant découvert l’univers de la saga sur le tard, j’ai été ravie de découvrir les coulisses de sa création. L’histoire nous plonge non seulement dans la galaxie lointaine, très lointaine, mais aussi dans les tréfonds du monde du cinéma des années 70. C’est fascinant de voir les défis auxquels George Lucas et son équipe ont dû faire face pour donner vie à l’épisode IV. Entre les tensions avec la 20th Century Studios, les contraintes techniques, les doutes persistants et les problèmes relationnels, chaque page révèle un pan captivant de cette épopée cinématographique. Ce qui m’a particulièrement plu, c’est la manière dont la bande dessinée capture l’essence de cette époque (je vous conseille d’écouter en fond sonore les mélodies envoûtantes de John Williams). On se retrouve transporté dans les années 70, imprégné de cette atmosphère de créativité et d’innovation qui a façonné l’âme de Star Wars. Les illustrations sont simples mais saisissantes, nous plongeant au cœur de l’action et des émotions des protagonistes. En somme, « Les Guerres de Lucas » est bien plus qu’une simple plongée dans l’univers de Star Wars, c’est une exploration passionnante de la vie de George Lucas, des rouages du cinéma et de la force créative qui a donné naissance à l’une des sagas les plus emblématiques de tous les temps.

Mélodie Spinosa – Bibliothécaire d’Andenne

Résumé

Scrupuleusement fidèle à la réalité historique, méticuleusement documenté, Les Guerres de Lucas met en scène l’invraisemblable épopée de George Lucas, enfant rebelle passé à côté de la mort, prodige du nouvel Hollywood et visionnaire indomptable. Une exploration inédite des coulisses de Star Wars, de l’enfer du casting au tournage cauchemardesque, où querelles entre acteurs, histoire d’amour secrète et désastres en pagaille jalonnent le quotidien. Un bourbier gigantesque dont sortira pourtant une oeuvre majeure qui changera à jamais le cinéma….